Enfants en danger : Comment les protéger ?
Idéologie de la sexualisation précoce pilotée par l’OMS
Objectif : Stopper la mise en œuvre des séances
d’Education à la vie Affective, Relationnelle et Sexuelle (E.V.A.R.S)
I- De quoi s’agit-il ?
La sexualisation précoce dans les Ecoles avec le programme E.V.A.R.S
(Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle) préconisé par l’Éducation Nationale via la circulaire n° 2018-111, selon les directives de l'OMS (cf. "Standards pour l'éducation sexuelle en Europe"*)
Objectif annoncé : « informer et protéger ».
II- Quel est le retour du terrain ?
Les associations de parents s’alarment des témoignages de faits graves qui leur parviennent de façon exponentielle, de parents parfois démunis et impuissants face aux institutions.
« Lors de séances d’E.V.A.R.S, de nombreux enfants ont été exposés à des images
pornographiques, à des discours exaltant la sexualité et les différentes pratiques sexuelles,
la présentant comme un ensemble d'actes procurant du plaisir physique tout en y associant la
notion de consentement. Ces élèves sont parfois contraints d'en parler à haute voix ou de
participer à des ateliers "pratiques"...
III - Quel est le constat des professionnels de l’enfance et du droit ?
Depuis 2017, Ils tirent la sonnette d’alarme sur l’idéologie de sexualisation précoce dictée par l’OMS (et autres institutions internationales) qui a conduit à la mise en place du programme E.V.A.R.S et aux dérives déjà observées.
Quels sont les problèmes du programme E.V.A.R.S ?
· Ne correspond pas à un objectif de prévention mais d’incitation à la sexualité dès le plus jeune âge avec une « effraction psychique ».
· Des « séances » et « expérimentations » qui ne respectent ni le développement de l’enfant ni son intégrité physique et psychique (ABUS).
· Un programmes établi sans la participation des professionnels de l’enfance mais sous l’influence de lobbies aux pratiques sexuelles déviantes,
· Porte atteinte à la moralité et la pudeur des mineurs,
· Remet gravement en cause l’autorité parentale,
· Va à l’encontre des lois existantes pour la protection de l'enfance,
· Constitue un endoctrinement, qui en tant que tel, est interdit par
la Convention Européenne des Droits de l’Homme.
L’infiltration d’associations militantes qui aggrave les problèmes
Elles s’imposent dans les écoles pour dispenser ces séances et propager leur idéologie. Les experts soulignent que c’est la porte ouverte à l’inceste, la pédophilie et la pédocriminalité ! Par ailleurs, le prosélytisme transgenre pousse de plus en plus d’enfants dans la confusion et le mal-être (ce qui conduit certains à se mutiler à vie).
Posons-nous quelques questions sur l’hyper-sexualisation des enfants
L’incitation à la sexualité est déjà présente partout dans la société. En la renforçant par un programme scolaire qui officialise et banalise la sexualisation précoce, quels résultats espèrent-on ?
Ne va-t-elle pas entraver l’apprentissage scolaire comme le disent déjà certains témoignages ?
Comment l’hypersexualisation de l’enfant va-t-elle lui permettre de se respecter et respecter autrui, de savoir mettre de saines limites, de ne pas être victime ou auteur de violences sexuelles, de ne pas devenir accroc à la pornographie … ?
Problèmes détaillés dans ce dossier :
Constat des professionnels de l’enfance et conséquences traumatiques pour les enfants : https://www.cultiver-la-vie.fr/post/enfance-en-danger
IV - CAMPAGNE NATIONALE : COURRIER RAPPEL A LA LOI
« Les collectifs Parents En Colère, accompagnés de 80 cosignataires, associations, collectifs, professionnels de la Santé du Bien-être et du Droit ainsi que des médias indépendants ont interpellé tous les établissements scolaires français : écoles, collèges et lycées en leur adressant un courrier de rappel à la loi les informant des délits et infractions dont ils se rendent coupables à titre individuel, lors de la mise en application de ces séances d’EVARS et ses variantes.(doc joint)
Nous avons également averti que si des parents nous contactaient pour signaler leur établissement, nous ferions systématiquement un signalement au Procureur de la République et aiderions les parents à se retourner vers les autorités compétentes ».
Ce courrier n’a été possible que grâce au travail juridique de fond de Maître de Araujo-Recchia (présidente de l’association ONEST)
Le BUT du courrier
· Stopper la mise en œuvre de ces séances
· Rappeler les normes juridiques et démontrer l’illégalité de ces séances face aux différentes lois de protection de l’enfance
Ces lois sont supérieures à celle du Code de l’Éducation Nationale.
Le personnel enseignant s’abrite souvent derrière « l’obligation » de l’article
L312-16 du Code de l’Éducation Nationale + circulaire N°2018-111)
Dans la hiérarchie des normes, la circulaire et/ou le code n’ont aucune valeur contraignante et vont totalement à l’encontre des blocs juridiques couvrant :
➡️ l’autorité parentale➡️ l’abus de faiblesse➡️ la corruption de mineurs➡️ le respect de l’intimité et de la pudeur➡️ le respect de la sphère privée et familiale➡️ et l’intérêt supérieur de l’enfant
V- QUE FAIRE ?
Pourquoi c’est important d’AGIR dès maintenant ?
1/ La généralisation du programme EVARS va entrainer la généralisation des conséquences délétères chez les enfants (l’ampleur du traumatisme ne se voit pas tout de suite).
2/ Pour le moment la LOI permet encore de défendre les enfants
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia souligne « Si nous tardons à agir, la loi risque d’évoluer avec le changement de mœurs ».
Il sera alors trop tard pour protéger les enfants des abus sexuels de toutes sortes.
A défaut de mettre des LIMITES et dire STOP nous (parents, grands-parents, enseignants, citoyens), nous n’aurons plus que nos yeux pour pleurer en constatant l’ampleur des dégâts.
Mot d’ordre : s’informer, ré-informer et AGIR !
ACTIONS POUR TOUS
Cette mobilisation collective des associations de parents et professionnels doit être complétée et renforcée par la mobilisation générale de TOUS.
Nous sommes tous concernés que nous soyons parents ou pas.
Il y a des familles autour de nous qui ont besoin de cette information.
1/ Lire attentivement le courrier « Rappel à la loi » et autres docs d’information
2/ Envoyer ce courrier à nos familles, notre entourage, nos contacts, au maire de la commune concernée, au Conseil départemental, à la Fédération des parents d’élèves, aux députés et sénateurs de la circonscription, au défenseur des droits de la région, aux médias locaux …
3/ Créer des groupes de soutien et d’actions locales
4/ Adhérer aux associations + se joindre aux actions (voir section IV : Sources)
5/ Conserver le courrier comme « outils juridique de protection » (fournir des arguments permettant de défendre les enfants).
6/ Pétitions
· Pétition ONEST : Signez la pétition
· Pétition SOS Education : Signez la pétition
ACTION : Rechercher d’autres co-signataires du courrier « Rappel à la loi »
Lors de vos prochains événements, vos futures rencontres, vous pouvez contribuer à faire connaître notre courrier et ainsi faire part à d’autres collectifs, associations et professionnels (Santé, Droit etc..) en leur indiquant qu’ils peuvent aussi en devenir cosignataires.
Via notre formulaire de contact https://www.parentsencolere.fr/contact/
en faire la demande en précisant :
1- Dans l’objet du message : cosignature Campagne Nationale EVARS
2- Dans le corps du message : le nom du collectif ou de l'association ou du média ou de la
profession (santé, droit, protection de l’enfance, enseignant ...)
3- En pièce jointe : le logo (s’il existe), format png ou sinon jpeg
ACTIONS POUR LES PARENTS
A/ 2 Courriers
1 – Un courrier de refus parental, à la participation de leur enfant, aux séances d’E.V.A.R.S pour motifs justifiés, à remettre au chef d’établissement, contre signature et approbation, remis en plusieurs exemplaires originaux au nom de chaque partie
2 – Pour un plus grand poids juridique, en complément de ce courrier, un engagement de responsabilité du chef d’établissement est exigé en retour, en cas de refus de signer ou de fin de non-recevoir de sa part.
L’avis d’engagement de responsabilité est joint au courrier, dûment rempli, le chef d’établissement engage officiellement sa propre responsabilité individuelle pour toute conséquence pouvant découler des séances et du refus de prendre en compte votre requête. Le chef d’établissement en prend ainsi l’entière responsabilité.
Les 2 courriers sont sur ce site : parents en colère.
B/ Témoignages et plaintes
Adressez-vous à une association de parents ou à l’association ONEST
Vous pouvez aussi nous contacter si vous avez besoin d’aide.
Autres actions ?
Nous attendons vos suggestions et initiatives.
VI - Sources
Notre dossier : https://www.cultiver-la-vie.fr/post/enfance-en-danger
Sites d’information / Avis de professionnels / sources officielles
Association O.N.E.S.T. Organisation Nationale Ethique Santé et Transparence
Association Parents en Colère : https://www.parentsencolere.fr
Association SOS Education: https://soseducation.org
Livre de Sophie Audugé (directrice de SOS Education) et Dr Maurice Berger
(pédopsychiatre) Education sexuelle à l’école
Livre de Maître Virginie De Araujo Recchia :
« Education sexuelle » et changement de mœurs »
Un livre sur le corpus juridique pour la protection des mineurs face à ces inflexions idéologiques. Pour un aperçu du livre : voir la « Note de lecture »
Livre du Dr Ariane Bilheran : L’imposture des droits sexuels.
Un livre sur les textes internationaux dictant la nature des enseignements sur
« l’éducation sexuelle » ou « éducation à la sexualité ».
Livre du Dr Régis Brunod (pédopsychiatre et expert auprès des tribunaux) : Préserver l’innocence des enfants
Un livre expliquant le développement psychologique de l’enfant, et le danger que représentent ces enseignements « l’éducation sexuelle »/« éducation à la sexualité ».
Contact : clvactions@orange.fr
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